Au sein des familles royales Si l’année 2020 aura été une année d’exception pour tous, elle s’est aussi révélée riche en événements pour les familles royales. Juan Carlos Celui qui aura assurément passé la plus mauvaise année est le roi émérite Juan Carlos, contraint à l’exil, réputé volontaire mais en réalité imposé par l’opinion publique en Espagne. La Nouvelle Ligne l’a déjà écrit et le répète à l’envi : quelle que soit sa forme constitutionnelle, l’institution monarchique repose en définitive sur un contrat entre une famille royale et un peuple ; en cas de rupture, c’est toujours le peuple qui l‘importe, une règle qui ne souffre aucune exception. En l’occurrence, le peuple est prêt à fermer les yeux sur les nombreuses maîtresses du roi, mais pas sur la chasse aux éléphants au Botswana et moins encore sur les pots-de-vin et la fraude fiscale. Que Juan Carlos se soit réfugié aux États Arabes…
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Les cadets, éternels seconds
Familles royales – les cadets, éternels seconds Le décès de Jeffrey Epstein ces jours derniers a fait resurgir les liens qu’il entretenait avec le prince Andrew, fils cadet de la reine d’Angleterre, et, plus largement du rôle qu’il lui est dévolu. A sa naissance, et tout au long de sa jeunesse, le prince était second dans l’ordre de succession au trône, juste derrière son frère aîné Charles. Mais la naissance du prince William en 1982, un an après le mariage du Prince Charles et de Diana Spencer, le fait reculer d’un cran ; aujourd’hui le prince Andrew se retrouve à la huitième place. Si la logique du système monarchique justifie l’existence de plusieurs enfants royaux, the heir and the spare selon le dicton anglais, elle pose aussi la question de l’affectation des membres des familles royales qui voient leur rang reculer. Andrew n’a après tout que vingt-deux à la naissance de William…